Ce n'est pas tous les jours que le grand public (tendance néogauchiste) prête un peu d'attention à la typographie... en attendant d'avoir les compétences pour en parler, on s'amuse à personnifier ces lettres, ces caractères qui nous entourent... Quel ingrat métier que celui de typographe, orfèvre des contre-formes, tapi dans l'ombre tandis que ses créations font les couvertures.
Pour renverser cette fatalité, un certain australien, Cameron Adams, s'est amusé à inviter 10 typographes à user de leurs poignets, pour voir, par curiosité, à quoi pouvaient bien ressembler leurs calligraphies. Et puis c'est aussi l'occasion de faire un très rapide et très petit tour du monde des typographes contemporains.



Ci-dessus, l'exemple d'Erik Spiekermann.