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Il faut défendre la zad
Geoffroy Pithon - mardi 26 janvier 2016 - Politique
Si nous vivons, nous vivons pour marcher sur la tête des rois.
Shakespeare
La dernière livraison du collectif Mauvaise troupe est un trésor nécessaire pour revenir sur la lutte contre le projet d'aéroport de Notre-Dame-des-Landes.
Il y a aussi Musica Populara: Une compil' pour la ZAD.
Elle est encore disponible, uniquement en version vinyle.
Pour tout savoir sur son contenu, allez lire larticle de CQFD.
Quelques titres sont disponibles ici.
Vendu 10 euros, le disque a été tiré à 500 exemplaires. Largent récolté sera versé à lassociation Vivre sans aéroport et au Comité de soutien aux inculpés. Jusque-là, la vente des disques a rapporté 2700 euros.
Les commandes sont à passer à: bellish@riseup.net.
Lundi.am revient sur le procès et les expulsions prononcées hier.
On ne lâche rien.
image: Quentin Faucompré
Shakespeare

La dernière livraison du collectif Mauvaise troupe est un trésor nécessaire pour revenir sur la lutte contre le projet d'aéroport de Notre-Dame-des-Landes.
Il y a aussi Musica Populara: Une compil' pour la ZAD.
Elle est encore disponible, uniquement en version vinyle.
Pour tout savoir sur son contenu, allez lire larticle de CQFD.
Quelques titres sont disponibles ici.
Vendu 10 euros, le disque a été tiré à 500 exemplaires. Largent récolté sera versé à lassociation Vivre sans aéroport et au Comité de soutien aux inculpés. Jusque-là, la vente des disques a rapporté 2700 euros.
Les commandes sont à passer à: bellish@riseup.net.
Lundi.am revient sur le procès et les expulsions prononcées hier.
On ne lâche rien.
image: Quentin Faucompré
Deux affiches, vingt exemplaires, une petite expo à Strasbourg
Adrien Zammit - jeudi 10 décembre 2015 - Création graphique

Vernissage ce vendredi à 18h30 à latelier des Horstaxe, 7 quai des Pêcheurs, 67000 Stras.
«Le studio horstaxe invite ses amis pour une vente/expo d'affiches graphiques les weekends du 12-13 et 19-20 décembre de 11h à 19h.»
Avec des images déssinées par Horstaxe, Super Terrain, Vincent Perrottet (et nous-mêmes donc), sérigraphiées chez les orfèvres de Lézard Graphique, production Horstaxe (merci à eux!). Elles sont aussi en vente ici.

Le Démocrate de l'Aisne
Geoffroy Pithon - mardi 10 février 2015 - Création graphique
Quotidien créé le 4 février 1906 par Pascal Ceccaldi, Le Démocrate de l'Aisne est conçu selon les méthodes du début du siècle dernier. Un directeur de la publication, une journaliste, un imprimeur typographe et un linotypiste fabriquent chaque semaine ce journal tiré tout de même à 1200 exemplaires. La rotative date de 1927, le linotype de 1936. Le numéro est vendu 60 centimes d'euros l'unité, et l'abonnement annuel revient à 26 euros. Ce sont d'ailleurs les abonnés qui constituent une grande partie des lecteurs du journal. Aujourd'hui passé hebdomadaire, il reste un ovni informatif à l'heure de l'information Internet, des réseaux sociaux, du "live blogging" et autres tweets tous azimuts
Une vidéo de Raphaël Lizambard des copains d'ÉcraNomade
6000 m2 de culture, images et sons de Notre-Dame-des-Landes
Geoffroy Pithon - mercredi 19 décembre 2012 - Arts vivaces

En soutient aux occupants de la ZAD, le collectif des "Tritons crété-e-s contre béton armé" (un des principaux noyaux de résistance sur place) a édité deux chouettes compiles et un petit recueil de photographies regroupant des images de luttes et un panorama des constructions-cabanes. Je ne sais pas trop comment et où sont distribués ces beaux objets, pour ma part, je les ai dégotés à prix fixe (5) chez Coiffard librairie à Nantes (normalement vendus prix libre...).
Deux trois mots, images et sons sur ces fabrications-maison, dans un terrible esprit Do-It-Yourself bien entendu (reliure à la corde et cd ré-inscriptible).
Anarchy, a journal of Anarchist Ideas
Geoffroy Pithon - mercredi 28 novembre 2012 - Bibliothèque

Cest le prestigieux éditeur anglais Hyphen Press qui vient récemment de publier ce recueil regroupant lintégralité des couvertures du journal Anarchy (1961-1970), fruit dun vaste travail darchivage pour remettre la main sur les quelques 118 parutions jamais vendues à plus de 3000 exemplaires mené par Daniel Poynor. Dans les années 60, ce canard londonien est la référence en matière didées libertaires. Un homme derrière tout ce ramdam : Colin Ward, infatigable gratte-papier, tour à tour éditeur, militant, essayiste, journaliste une référence intellectuelle dans le paysage anarchiste britannique.
La majeure partie des couvertures sont signées Rufus Segar, en voici quelques images, résistantes et toujours inébranlables. Résonnent ici les grandes heures de la free press.
D'autres extraits sur Recto-Verso (d'où provient la série qui suit) et aussi une rapide entrevue de Dan Poyner et Rufus Seger.






Un atelier de sérigraphie mobile et un peu de voyage à Nantes
Geoffroy Pithon - dimanche 22 juillet 2012 - Pérégrinations

«Poussés par un soleil brillant (ou presque), une fertile imagination post-diplômatoire (ou presque), une folle envie dévasion et de découvrir le monde, nous prenons la route en vélo munis de notre charrette sérigraphique afin dimprimer cartes postales et images souvenirs sur les côtes et terres bretonne!» Quentin et Luc


Même si le beau temps nétait pas forcément au rendez-vous, les deux sérigraphistes en vadrouille ont réussi à imprimer une belle quantité de cartes postales colorées et décalées grâce à leur installation balaise. Vendus prix libre, ces objets uniques sont aussi une façon pour les badauds de (re)découvrir cette technique dimpression artisanale, au rendu inégalable et au charme précieux un peu de culture graphique populaire ne fait pas de mal pendant les vacances. Et ça a lair de prendre, bien joué les gars! (Un spécial chapeau bas pour avoir passé le pont de Saint-Nazaire en vtt, et avec la carriole (!) on connaît la tête des cyclistes sur cette piste infernale.)

Loccasion aussi de faire une première immersion dans cette manifestation culturelle, importante dans louest actuellement, quest Le Voyage à Nantes : «la ville renversée par lart» quils disent! En tout cas il faudra que je revienne, le parcours est intense et riche, se veut largement ouvert mais garde une touche très nantaise et branchée. En tout cas un paquet dexpo et dévénements gratuits viennent compléter les uvres in situ dEstuaire, la biennale dart contemporain locale qui mavait déjà bien séduit les années précédentes. On pense presque à Lille 3000 avec son lot de buvettes et danimations plein-air où lesthétique Royal de Luxe se fait souvent sentir comme cette crêperie géante et un peu sauvage, installée dans une friche de lîle de Nantes qui, apparemment, accueillera bientôt la nouvelle école d'art publique ; on y a prix notre complète et une bolée de cidre.

Jétais content de pouvoir profiter enfin du travail de Roman Signer dont on me clame souvent les bien-faits thérapeutiques des expériences carrément dada, souvent sur fond dalpages suisses comme en témoigne la première de couv du catalogue de lexpo soigneusement dessiné par Grégoire Romanet pour le compte des Éditions Dilecta, très classe, avec un flip book intégré à la mise en page.




Au passage, les belles planches de bois sérigraphiées de lartiste américaine Jessica Stockholder, accueillies par le Frac des Pays de la Loire.


LHumaginaire avec les Pinçon-Charlot et la résistance avec la Coordination des intermittents et précaires
Adrien Zammit - mardi 22 février 2011 - Politique

Grouillez-vous de rejoindre le kiosque le plus près de chez vous avant sa fermeture, sans quoi vous naurez pas le droit à un 4 pages de lHumaginaire (dans lHumanité donc) consacré au couple de sociologues français le plus célèbre (mais pas encore assez), jentends causer de Monique Pinçon-Charlot et Michel Pinçon.
Leur dernier bouquin, Le Président des riches, fait actuellement un tabac avec ses 100.000 exemplaires déjà vendus. Et cest sans perdre de lhumour et de la percussion de ces sociologues de la classe dominante, que Thomas Lemahieu nous narre quelques jours passés à les suivre de conférence en conférence. À limage, cest Gérard Paris-Clavel-qui-lutte-des-classes qui sy colle et glisse quelques uns de ses signes et une pincée de mots (lui-même avait ouvert avec Thomas les pages de lHumaginaire en décembre 2009) Et le tout forme un reportage bien rafraichissant, qui appuie bien sur la nécessité pressante de revenir à une pensée politique de classes sociales.
(Aussi vous avez un bon petit documentaire, Voyage dans les guettos du gotha, qui se visionne avec un plaisir comparable!)
Dans un mois nous devrions remettre le couvert avec le collectif citoyen du Tambour des doléances, pour un 4 pages cette fois consacré à laction du Tambour des doléances donc. (Faut suivre.)

Et puis sinon il y a urgence côté de la Coordination des intermittents et précaires dÎle-de-France (CIP-IDF) qui risque lexpulsion dun jour à lautre. Alors vous pouvez signer leur pétition, laisser un numéro de portable pour venir prêter main forte en cas dexpulsion, et aussi lire le papier de Jean-Baptiste Bernard sur le site dArticle11 à ce sujet.
Millie, My Boy Lollipop
Adrien Zammit - lundi 7 février 2011 - Musique

Histoire de bien commencer la semaine, rien de mieux quun bon vieux morceau de ska! Et pour être précis il sagit là de bluebeat avec cet air de 1964, My Boy Lollipop, interprété par Millie.
À cette époque le reggae navait pas encore débarqué, ni même le rocksteady dailleurs. Enfin peut-être connaissiez-vous déjà tous ce morceau, puisquentre les singles, les albums et les compilations il sen est vendu plus de 7 millions de copies principalement en Angleterre, aux États-Unis et même en Australie ; en France les vedettes sappelaient plutôt Sylvie Vartan (La plus belle pour aller danser), Johnny (Les portes du pénitencier) ou Jean Ferrat (La Montagne).
Grève générale
Adrien Zammit - lundi 26 janvier 2009 - Politique

Les syndicats CFDT, CFTC, CFE-CGC, CGT, FO, FSU, Solidaires, UNSA, CNT ainsi que l'ensemble des partis de gauche et de nombreuses associations appellent à la grève et à la manifestation. Cela concerne de très nombreuses professions, les étudiants et écoliers, les chômeurs Actuellement ils sont rares ceux qui ne sont pas touchés par les réformes gouvernementales et par la crise financière qui entrainent derrière elles le développement de la précarité et du chômage. Et une fois de plus, les fortunés sont bien au chaud, comme nous l'explique clairement Maurice Ulrich dans un éditorial de l'Huma.
Vous pouvez lire la déclaration commune du front syndical pour mieux comprendre les raisons de ce ramdam.
Cette journée sera rythmée par de nombreuses manifestations en France. À Paris le cortège partira de Bastille (14h) pour rejoindre Saint Augustin en passant par République.
De notre côté nous en profitons pour mettre en pratique et en images les hypothèses que nous avançons depuis le début de l'année (je fais surtout référence à l'ensemble de textes présents dans le numéro 2 de Chantier). Nous éditons ainsi un petit journal Chantier numéro 3 avec un contenu qui reste encore à faire! C'est la charrette!
Nous vendrons ce journal pendant la manifestation parisienne et s'il reste des exemplaires ils seront vendus pendant les journées portes ouvertes des Arts déco (vendredi et samedi).

Ci-dessus un des deux posters imaginés et sérigraphiés ce lundi.
Journal des arts déco, numéro du 1 février 2008
Adrien Zammit - vendredi 13 juin 2008 - Création graphique
Désolé pour le retard, mais voilà des images de l'avant-dernier numéro du petit journal que nous faisions aux Arts déco. Après avoir tenu 12 semaines au rythme d'un numéro par semaine du 1er octobre au 18 décembre , la petite équipe motrice s'est éparpillée pour revenir aux ordinaires sujets de travail de chacun et puis il y a eu une naissance, un départ Erasmus, des mémoires, d'autres envies...
Deux autres numéros verront cependant le jour dont celui-là, sorti spécialement pour les portes ouvertes 1 et 2 février , un peu plus épais, accompagné de petits suppléments (pas encore pris en photo!) et puis surtout, petit exploit, on l'a tiré à 500 exemplaires. Il s'est très bien vendu son avoir adouci son contenu encore impolitiquement correct.
Le titre s'adressait donc à nos visiteurs d'un jour.
Deux autres numéros verront cependant le jour dont celui-là, sorti spécialement pour les portes ouvertes 1 et 2 février , un peu plus épais, accompagné de petits suppléments (pas encore pris en photo!) et puis surtout, petit exploit, on l'a tiré à 500 exemplaires. Il s'est très bien vendu son avoir adouci son contenu encore impolitiquement correct.

Ticket chic ticket choc
Adrien Zammit - mardi 22 avril 2008 - Textes Formes Vives
En 1981 est confié à l'agence Ecom (groupe Havas) la tâche de faire décoller la RATP. L'agence de publicité va faire subir un tournant radical à l'entreprise publique de transport et la campagne va connaitre un franc succès.
Jusque là, les campagnes d'affichages vantaient les qualités réelles de l'entreprise (notamment face à la voiture) mais cela ne semblait plus suffire pour attirer d'avantage les parisiens. On a alors recherché un effet de mode et ainsi est créée une image forte et originale mettant en avant le ticket jaune et sa bande marron. On a créé une image de «marque» pensant que l'image d'une institution publique ne pouvait revendiquer le dynamisme nécessaire.
Cette réussite est sans doute, en partie, à l'origine de ce qui fait la médiocrité actuelle de la communication des institutions publiques qui se sont rabattues sans moufter sur le modèle de la publicité commerciale c'est sans doute pire car en dépensant des sommes colossales elles doivent être persuadées d'être «en avance».
Quand j'emploie la terme de «médiocrité» ce n'est pas pour juger de la qualité visuelle des images produites mais pour souligner la confusion faite entre les usagers et les consommateurs que ce type de communication implique. On s'adresse à nous pour nous vendre quelque chose alors même que la raison première d'un service public en France devrait être d'améliorer notre qualité de vie. Ainsi, une entreprise publique devrait s'adresser à ses usagers comme à des citadins, des habitants de l'espace public et à fortiori des citoyens. Jean-Pierre Grunfeld utilise à ce sujet le terme de «citadin-citoyen».

Cette réussite est sans doute, en partie, à l'origine de ce qui fait la médiocrité actuelle de la communication des institutions publiques qui se sont rabattues sans moufter sur le modèle de la publicité commerciale c'est sans doute pire car en dépensant des sommes colossales elles doivent être persuadées d'être «en avance».
Quand j'emploie la terme de «médiocrité» ce n'est pas pour juger de la qualité visuelle des images produites mais pour souligner la confusion faite entre les usagers et les consommateurs que ce type de communication implique. On s'adresse à nous pour nous vendre quelque chose alors même que la raison première d'un service public en France devrait être d'améliorer notre qualité de vie. Ainsi, une entreprise publique devrait s'adresser à ses usagers comme à des citadins, des habitants de l'espace public et à fortiori des citoyens. Jean-Pierre Grunfeld utilise à ce sujet le terme de «citadin-citoyen».
Cité U Montparnasse
Adrien Zammit - samedi 20 octobre 2007 - Politique
C'est l'histoire brève et forte d'un squat, au 85 boulevard Montparnasse, dans un grand immeuble inoccupé depuis un an. Un immeuble qui aurait pu servir à loger des étudiants si l'État ne l'avait pas vendu à l'assureur militant Maif. Si j'ai prêté la main pour faire les banderoles et mettre un peu de vie sur les murs de ce lieu, c'est surtout l'expérience humaine que j'en retiendrai.
Les images sont du photographe Laurent Hazgui qui comme moi était présent à l'intérieur.
